Los años pasan, la inocencia se pierde y la
infancia cada día deja de ser menos infancia. Los juegos de los niños en
la calle se han visto sustituidos por pantallas, atontadoras de
cerebros y músculos, lavadoras de pensamientos, instrumento de
demagogia. Las risas en las calles hasta el anochecer, los lloros por
caídas y raspones en las rodillas, las peleas de cinco minutos, las
reconciliaciones a golpe de pelota… en resumidas cuentas, la alegría de
las calles se ha perdido.
Les années passent, l'innocence se perd et l'enfance chaque jour cesse d'être enfance. Les jeux des enfants dans les rues se sont vues substitués par des écrans, abrutissant des cerveaux et des muscles, des nettoyeuses de la pensée, instrument de démagogie. Les rires dans les rues jusqu'au crépuscule, les pleurs par des chutes et des blessures dans les genoux, les bagarres de cinq minutes, les réconciliations à un coup de balle … en comptes résumés, la joie des rues a été perdue.
Les années passent, l'innocence se perd et l'enfance chaque jour cesse d'être enfance. Les jeux des enfants dans les rues se sont vues substitués par des écrans, abrutissant des cerveaux et des muscles, des nettoyeuses de la pensée, instrument de démagogie. Les rires dans les rues jusqu'au crépuscule, les pleurs par des chutes et des blessures dans les genoux, les bagarres de cinq minutes, les réconciliations à un coup de balle … en comptes résumés, la joie des rues a été perdue.
Hoy en día, abrir una ventana a la calle es abrir una ventana a la
chabacanería y la poca vergüenza. Donde otrora se oyeron los juegos de
los niños y el desparpajo del vecindario, hoy se queda en el cotilleo
del gallinero, el barrullo de los vehiculos y el vocerío de aquellos que
ni se molestan en aprender a hablar. Y mientras, ¿dónde están los niños
con sus bicicletas, los dibujos de rayuelas en el suelo, los partidos
de fútbol improvisados en cualquier plaza, las escondidillas que duraban
tardes enteras y las épicas batallas de tazos a las entradas de las
escuelas y casas?
De nos jours, ouvrir une fenêtre à la rue c'est ouvrir une fenêtre à la vulgarité et le manque d'honte. Où autrefois nous écoutions les jeux des enfants et la désinvolture du voisinage, aujourd'hui il reste dans le commérage du roost, le brouhaha des véhicules et le cris de ceux qu'ils se dérangent d'apprendre à parler. Et tandis que: où les enfants sont-ils avec ses bicyclettes, les dessins des marelles dans le sol, les matches de football improvisés sur n'importe quelle place, les jeux cachant qui duraient une après-midi entière et les batailles épiques de pogs aux entrées des écoles et de maisons ?
De nos jours, ouvrir une fenêtre à la rue c'est ouvrir une fenêtre à la vulgarité et le manque d'honte. Où autrefois nous écoutions les jeux des enfants et la désinvolture du voisinage, aujourd'hui il reste dans le commérage du roost, le brouhaha des véhicules et le cris de ceux qu'ils se dérangent d'apprendre à parler. Et tandis que: où les enfants sont-ils avec ses bicyclettes, les dessins des marelles dans le sol, les matches de football improvisés sur n'importe quelle place, les jeux cachant qui duraient une après-midi entière et les batailles épiques de pogs aux entrées des écoles et de maisons ?
Las calles se han quedado vacías de juegos. Los pequeños de la
familia se han acostumbrado a vivir pendientes de una pantalla, no
importa cuál sea el tamaño de ésta. Pero, ¿cómo culpar a los niños si lo
único que hacen es aprender de sus mayores?
Les rues sont restées vides des jeux. Les petits de la famille se sont habitués à vivre pendants un écran, n'importe quelle soyez la taille de celle-ci. Mais: comment inculper les enfants si la chose unique qu'ils font est apprendre de ses plus grands?
Con el paso de los años, cabe la posibilidad que alguien, personaje
fofo y de ojos vidriosos, alce la vista de la pantalla y se pregunte
realmente quién sirve a quién, el esclavo tecnológico o el aparato útil.
Au fil des ans, la possibilité tient que quelqu'un, un personnage flasque avec des yeux vitreux, lève la vue de l'écran et se demande réellement qui sert à qui, l'esclave technologique ou l'appareil utile.
Au fil des ans, la possibilité tient que quelqu'un, un personnage flasque avec des yeux vitreux, lève la vue de l'écran et se demande réellement qui sert à qui, l'esclave technologique ou l'appareil utile.
El ser humano es esclavo de sus vicios.
L'être humain est esclave de ses défauts.